Films

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2013 – Brésil – Opération pacification

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En prévision du mondial de foot et des JO, la mégalopole brésilienne, une des villes les plus violentes du monde, livre une bataille incessante contre les narcotrafiquants. Une politique de « pacification »à haut risque.« Le gouvernement a laissé faire pendant trente ans. Il ne s’est pas intéressé aux pauvres, les favelas se sont multipliées, et les trafiquants ont fini par remplacer l’Etat absent » (…)

 

 

 


 

2011 – CONDITION ONE « freedom or Death »

My Freedom Or Death – Condition ONE Beta from Danfung Dennis on Vimeo.


 

2011 – « Flic Story, La nouvelle-Orléans »70’ (Jamside) -TF1D3-FlicStory_PCH8688

« Ces balles causent beaucoup de dégâts quand elles te touchent parce qu’elles éclatent en entrant dans ton corps. Dans la rue, on appelle ça des balles tueuses de flics ». La scène se passe la nuit dans un quartier dangereux de La Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. L’arme appartient àun garçon de dix-neuf ans…  En Louisiane tout le monde peut porter une arme, difficile alors pour la police de La Nouvelle-Orléans de faire respecter la loi sans risquer sa vie. Protéger et servir, combattre le crime et pourchasser les criminels au nom de la loi, c’est la vie d’Athena, Brian et James, jeunes policiers à la brigade criminelle de La Nouvelle-Orléans. Pendant deux mois, 24 heures sur 24, trois équipes de tournage, avec Patrick Chauvel, ont embarqué avec les flics de cette unité d’élite et partagé leurs missions de l’autre côté du « ruban jaune » des scènes de crime.

 


 

D4-Thailande2008 – Thaïlande, à l’ombre du paradis – 26’(TAC Press) – Envoyé Spécial, France 2

Loin de la carte postale à quelques heures de route des plages de Phuket, la Thaïlande offre un tout autre visage : celui d’affrontements sanglants entre bouddhistes et musulmans. Attentats presque quotidiens, notamment contre l’armée, villageois décapités la nuit, civils en armes, une guérilla islamiste tente d’imposer l’indépendance de la région par la terreur. Plus de deux mille morts depuis janvier 2004, le sud de la Thaïlande est en proie à une guérilla meurtrière, tout près des zones touristiques du pays. Reportage au cœur de la zone indépendantiste dans une ville, Pattani, désertée par les touristes, avec l’armée et la police thaïlandaise en patrouille et aux côtés des civils pris désormais au piège de cette guerre larvée.

 

 


 

2008 – Gurkhas, l’épreuve –52’(Scherkhan Production)D5-GurkasBDEF

Chargés de pierres, plus de cinq cent jeunes népalais s’élancent à flanc de montagne Himalayenne pour une course de 55 minutes. A l’arrivée, seuls les meilleurs rejoindront le régiment de l’armée britannique des Ghurkas, et gagneront une nouvelle vie. Cette épopée qui dure depuis le 19 e siècle et qui s’est organisée à la fin des années 40 avec la création du T.D.B.G en Grande Bretagne, (centre de recrutement et de formation) a donné naissance à une section d’élite devenue mythique.

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2008 – Voyage au Talibanistan – 52’ (TAC Press) – Envoyé spécial, France 2

C’est une des zones les plus dangereuses du monde. Les Pakistanais l’appellent le Talibanistan, le pays des Talibans. Au nord-ouest du Pakistan, une région immense échappe au contrôle du gouvernement. C’est dans ces montagnes qu’une partie des Talibans qui affrontent les Occidentaux en Afghanistan viennent se réfugier. Ce reportage nous emmène au-delà des barrages de l’armée pakistanaise qui interdisent l’accès aux journalistes et aux étrangers. La région est autogérée par des chefs de clans dans le culte des armes et de l’honneur, selon des codes dignes du Moyen-Age.

 


 

2007 – Dans la poudrière pakistanaise – 52’(Tac Press) –Jeudi Investigation, Canal +

Le 27 décembre 2007, Benazir Bhutto est tuée dans un attentat-suicide lors d’un meeting dans la banlieue d’Islamabad au Pakistan. Soutenue par les Etats-Unis, elle était rentrée d’exil dans son pays à l’automne pour participer au processus électoral. Quelques temps après son arrivée, elle fut assignée à résidence et sa demeure se retrouva cernée par l’armée. Alors qu’il réalisait un documentaire sur la société civile pakistanaise et notamment l’engagement de jeunes avocats, Patrick Chauvel, venu interviewer la femme politique, se retrouve enfermé avec elle…

 


 

2007 – Les Yeux de Sarah –90’(Film et Marguerite, Tac Presse)

Ce film propose de suivre Sarah Caron dans son travail sur une durée d’un an. Photographe reconnue, cette jeune femme parcourt le monde avec passion à la découverte d’événements importants mais souvent négligés par les médias qui la plupart du temps privilégient les histoires plus attrayantes, les « sujets vendeurs ». Malgré cette tendance à l’image choc, les grands magazines publient son travail, reconnaissant un regard particulier. Nous suivrons cette photojournaliste sans compromis au Cambodge, au sud de la Thaïlande, dans le désert du Sinaï, en Afghanistan, en Israël, partout où elle va chercher les histoires derrière « l’histoire », hors des sentiers battus à l’écoute des autres et de son art. Nous la suivrons aussi dans les rédactions qui publient ses images, aux services photos de journaux français et américains.

 


 

2004 – I.R.A.K. –52’(Films & Marguerite) –Sélectionnéau FIPA 2005

«Irak : Résistance Artistique et Kalachnikov ». La résistance artistique face à la guerre. Rencontre avec des écrivains, des peintres, des sculpteurs irakiens qui tentent de protéger le patrimoine culturel et archéologique de leur pays en plein cœur de la guerre.


2003 – Trompe l’œil –52’ D10-Trompe-l'oeilBDEF
(Films et Marguerite / Key West Production / Odyssée)
Mention spéciale du jury au FIGRA 2005

Portraits croisés de 6 photographes de guerre : 3 israéliens et 3 palestiniens, tous enfermés dans ce conflit qui dure depuis plus d’un demi-siècle.Ces photographes racontent l’Histoire au travers de la leur. On les voit vivre au quotidien, chacun aux prises avec ses doutes et ses tourments ; ils sont là, ce sont des journalistes locaux, aucun d’entre eux ne peut dire : “J’en ai assez, je rentre”.Avec : Miki Kratsman, Micha Bar-Ham, Gali Tibbon, Loay Abu Haykel, Nasser Ishtayeh, Zordhi Al-Tarifi.

 

 


2002 – Kamikaze 47, l’histoire de Wafa Idriss –26’ (Films et Marguerite / AVP News / Match TV) sélection au FIPA 2002

Le 27 janvier 2002, en plein cœur de Jérusalem, la première femme kamikaze palestinienne se fait exploser. L’attentat fait un mort et une centaine de blessés. Cette femme, c’est Wafa Idriss, 25 ans, ambulancière au Croissant Rouge à Ramallah.

Deux mois avant ce drame, Patrick Chauvel était venu tourner un film sur les membres du Croissant Rouge. Il y avait rencontré Wafa, souriante et pleine de vie.

Après avoir appris son acte, le réalisateur retourne à Ramallah pour comprendre comment elle a pu en arriver là. Il part à la rencontre de la famille de la jeune femme, de ses collègues,de Marwan Barghouti du Fatah et de l’épouse de l’homme tué dans l’attentat.

 


 

2001 – 48 heures à Ramallah – 26’ D15-48H-Ramallah
(Productions Tony Comiti / Films et Marguerite / Arte reportages)
sélection FIPA 2001

Ramallah est la capitale de la Cisjordanie, siège du gouvernement palestinien, à10 Km de Jérusalem. Cette ville est au cœur de l’Intifada, qui depuis le début de l’insurrection, le 29 Septembre 2000, a fait 233 morts côté israélien et 885 morts côté palestinien.

Dans toute la Palestine les ambulanciers du croissant rouge se dévouent aux risque de leur vie pour en sauver d’autres. En 14 mois, la guerre des pierres a fait plus de 16 854 blessés, dont 118 chauffeurs d’ambulance et infirmiers.Ce film raconte leur histoire et aussi leurs désespoirs.

 


 

1998 – Rapporteurs de guerre –52’ (avec le soutien du CNC, diffusion Canal +) rapporteursguerredvd
sélectionné au FIPA 1999 à Bayeux (Prix du Correspondant de guerre),
à Perpignan « Visa pour l’image »

Intervenants : Larry Burrows, James Nachtwey, Corinne Dufka, Luc Delahaye, Alain Debos, Gilles Peress, Chris Morris, Ron Haviv, Heidi Bradner, Laurent Van der Stockt, Goksin Sipahioglu, Cathy Ryan, Guy Cooper, Carl Mydans, Patrick Chauvel, Yves Heller, Roger Thérond, Michelle Stephenson.
Pourquoi choisit-on d’être photographe de guerre ?
A-t-on le droit de photographier la souffrance des autres ?
De quoi est-on responsable ?
Photographier pour témoigner, un geste politique ou un geste pour l’histoire ?
Quelle est la place des rédactions dans le travail sur le terrain ?
Autant de question auxquelles tente de répondre ce documentaire en proposant une série d’interviews, sur fond de documents, sur 50 ans de photographie de guerre. Aux prises avec leurs interrogations sur le sens de leur métier, les plus grands photographes d’hier et d’aujourd’hui parlent de leur passion.
Un passionnant état des lieux du photojournalisme où l’on découvre le quotidien de ceux qui témoignent des guerres parfois au péril de leur vie.
“Un excellent documentaire sur le travail des correspondants de guerre”. Le Nouvel Observateur